"Parmi ceux qui n'ont rien à dire..."
"Parmi ceux qui n'ont rien à dire, les plus interessants sont ceux qui se taisent" disait Coluche.
Bien sûr les frimas de l'hiver approchent, les journées se font plus courtes, la lumière est plus crue, moins empreinte de chaleur, le moral est en berne, mais pourquoi?
Pourquoi la CGT a t'elle fait le choix de la critique systématique dans son dernier tract. En quoi la mise en oeuvre d'un dialogue social spécifique au site de Roanne va-t'elle mettre en danger les salariés de Transcom ?
Pourquoi évoquer un soi-disant blabla, pourquoi réduire à une sorte de néant la parole qui émane directement des salariés du floor et qui est portée par des leaders choisis par leur équipe de façon DEMOCRATIQUE?
Pourquoi faut-il tout mélanger? Les NAOs seront bientôt au coeur de nos préoccupations et dès lors, il sera temps de transmettre les demandes concernant nos rémunérations de façon énergique, ce temps n'est pas encore venu.
Par ailleurs le bien être des salariés passe-t'il uniquement par les rémunérations plus élevées, ne faut il pas également déterminer les actions à mettre en oeuvre pour diminuer le stress au travail ? pour que chacun se sente plus à même de travailler MIEUX pour travailler BIEN.
Evidemment, suite à la mise en circulation du tract édité par le syndicat puissamment élu par les salariés de Transcom, le CCM eut beau jeu de poser la question suivante :
Doit-on aller plus dans le dialogue social ou au contraire, doit-on cesser si la démarche est considéré comme "hypocrite et sans intérèt"?
Les leaders firent un rapide aller-retour pour s'enquérir de la réponse de ceux qu'ils représentent et la réponse fut sans détour ou somme toute unanime : on continue!
Voilà comment pour s'être livré de façon peut être trop radicale à une critique sans nuance, le syndicat élu par plus de 70% des salariés de Transcom se trouva mis en minorité par le CCM et les salariés transcomiens.
Un rappel à nos responsabilités : C'est sans doute ainsi que chacun doit entendre le message des salariés en réponse à la question posé par le CCM. Nous n'avons pas à nous réjouir du message implicite passé à la CGT, il nous faut plutôt nous interroger sur les attentes précises des salariés vis à vis de leurs syndicats.
La mise en oeuvre du dialogue social spécifique à Roanne peut générer de vraies avancées, ou pas. (nous serons vigilants).
Mais que l'on soit pour ou contre, le message qu'elle sous-tend est clair : il nous faut absolument être plus en cohérence avec les besoins, y compris les besoins non exprimés des employés de transcom.
Car le dialogue social roannais est une remise en cause très claire de la représentativité syndicale au sens de : les syndicats CFDT CGT ou FO présents à transcom relaient-ils la parole des salariés ou relaient-ils uniquement la parole de leur hierarchie(syndicale)?
Il n'est plus temps d'aborder les problèmes des salariés de façon théorique ou ideologique, il faut donner du concret aux salariés et promettre pour tenir.
Nous comptons sur vous lecteur pour vous faire le relais de nos engagements et pousser chaque salarié à exprimer ce qu'il souhaite, notamment pour les futures NAOs.
Pour notre part nous sommes prêts au dialogue et à l'action
Bien sûr les frimas de l'hiver approchent, les journées se font plus courtes, la lumière est plus crue, moins empreinte de chaleur, le moral est en berne, mais pourquoi?
Pourquoi la CGT a t'elle fait le choix de la critique systématique dans son dernier tract. En quoi la mise en oeuvre d'un dialogue social spécifique au site de Roanne va-t'elle mettre en danger les salariés de Transcom ?
Pourquoi évoquer un soi-disant blabla, pourquoi réduire à une sorte de néant la parole qui émane directement des salariés du floor et qui est portée par des leaders choisis par leur équipe de façon DEMOCRATIQUE?
Pourquoi faut-il tout mélanger? Les NAOs seront bientôt au coeur de nos préoccupations et dès lors, il sera temps de transmettre les demandes concernant nos rémunérations de façon énergique, ce temps n'est pas encore venu.
Par ailleurs le bien être des salariés passe-t'il uniquement par les rémunérations plus élevées, ne faut il pas également déterminer les actions à mettre en oeuvre pour diminuer le stress au travail ? pour que chacun se sente plus à même de travailler MIEUX pour travailler BIEN.
Evidemment, suite à la mise en circulation du tract édité par le syndicat puissamment élu par les salariés de Transcom, le CCM eut beau jeu de poser la question suivante :
Doit-on aller plus dans le dialogue social ou au contraire, doit-on cesser si la démarche est considéré comme "hypocrite et sans intérèt"?
Les leaders firent un rapide aller-retour pour s'enquérir de la réponse de ceux qu'ils représentent et la réponse fut sans détour ou somme toute unanime : on continue!
Voilà comment pour s'être livré de façon peut être trop radicale à une critique sans nuance, le syndicat élu par plus de 70% des salariés de Transcom se trouva mis en minorité par le CCM et les salariés transcomiens.
Un rappel à nos responsabilités : C'est sans doute ainsi que chacun doit entendre le message des salariés en réponse à la question posé par le CCM. Nous n'avons pas à nous réjouir du message implicite passé à la CGT, il nous faut plutôt nous interroger sur les attentes précises des salariés vis à vis de leurs syndicats.
La mise en oeuvre du dialogue social spécifique à Roanne peut générer de vraies avancées, ou pas. (nous serons vigilants).
Mais que l'on soit pour ou contre, le message qu'elle sous-tend est clair : il nous faut absolument être plus en cohérence avec les besoins, y compris les besoins non exprimés des employés de transcom.
Car le dialogue social roannais est une remise en cause très claire de la représentativité syndicale au sens de : les syndicats CFDT CGT ou FO présents à transcom relaient-ils la parole des salariés ou relaient-ils uniquement la parole de leur hierarchie(syndicale)?
Il n'est plus temps d'aborder les problèmes des salariés de façon théorique ou ideologique, il faut donner du concret aux salariés et promettre pour tenir.
Nous comptons sur vous lecteur pour vous faire le relais de nos engagements et pousser chaque salarié à exprimer ce qu'il souhaite, notamment pour les futures NAOs.
Pour notre part nous sommes prêts au dialogue et à l'action