Dialogue social ou blabla
J'étais étendu à même le sol, ma nuque baignait dans l'herbe tendre, je roupillais tranquille, à l'ombre rafraichissante d'une saule pleureur(n'y voyez là, nul rapport), lorque tout à coup me
vint une pensée :
Et si le dialogue social n'étais que du blabla ?
Et si cette démarche entreprise avec un courage et une volonté ""admirable"" par la direction France de transcom WW. ne pouvait aboutir?
Que ferions nous, qu'en dirions nous?
Salarié d'une multinationale, d'une petite multinationale(?!?), à l'exemplaire management suédois, puis-je me soustraire à ce fascinant débat qui me permet d'exprimer mes espoirs les plus fous ?
- sur la reconnaissance et la valorisation de mes compétences,
- sur la place des femmes, des travailleurs handicapés dans l'entreprise
- sur la place des syndicats dans l'entreprise(sniff CFDT...)
- sur l'annualisation du temps de travail...
Oui, la question se pose, pouvons nous nous soustraire et :
- faire comme si ces questions ne nous étaient pas posées
- faire comme si nous n'avions pas la possibilité, la capacité intellectuelle d'y répondre.
- faire comme si nous nous ne savions pas proposer des solutions crédibles à notre employeur pour faire évoluer notre statut professionnel ?
Alors, abordons le dialogue social sous un angle différent,
Nous sommes appelés
- à exprimer ce qui restreint notre capacité à agir,
- à proposer de nouvelles solutions pour améliorer nos conditions de travail
- à être reconnu comme de véritables professionnels du service client.
Saisissons-nous de cette opportunité
- pour faire reconnaître nos propositions
- pour en finir avec cette culture "du jusque là tout va bien"
La direction de transcom ww. doit se trouver en face de professionnels en capacité de faire ressortir les freins qui nuisent à la performance de l'entreprise et au bien être de chacun :
Les managers doivent inventorier ce qui les empêchent d'évoluer, d'apporter leur propre plus-value au travail quotidien de leurs équipes.
Les agents doivent être capables d'analyser leur fonction et de tracer les lignes d'actions qui permettraient de réduire leurs difficultés à gérer leurs missions, le stress lié à l'accomplissement de leurs tâches quotidiennes.
Les membres du training doivent être capable de mettre en en oeuvre de véritables outil d'évaluation, non pas seulement des salariés, mais aussi et surtout des moyens(outil informatiques et procédures mis à disposition du personnel) et de quelle façon effectuer des remontées pertinentes et percutantes à nos clients ,
Le service des ressources humaines doit...etc
Il est nécessaire que chacun apporte sa pierre à l'édifice, afin que nos emplois soient pérénnisés, reconnus, valorisés, pour que Transcom WW. se conforme davantage chaque jour à nos chères Transvalues,
Mais également pour qu'au moment des prochaines NAO, nous puissions établir le fait que sans la valeur ajoutée que chacun apporte à l'entreprise, au quotidien et au travers de ce type de démarche : Transcom n'est qu'un opérateur de plus dans la jungle des callcenter et que cette valeur ajoutée a à un prix.
PS : A quelqu'un qui se plaignait de travailler dans une mine de charbon, on répondit : tu pourrais travailler dans une mine de sel...l'autre se remit à pousser son chariot : eut-il tord?
Et si le dialogue social n'étais que du blabla ?
Et si cette démarche entreprise avec un courage et une volonté ""admirable"" par la direction France de transcom WW. ne pouvait aboutir?
Que ferions nous, qu'en dirions nous?
Salarié d'une multinationale, d'une petite multinationale(?!?), à l'exemplaire management suédois, puis-je me soustraire à ce fascinant débat qui me permet d'exprimer mes espoirs les plus fous ?
- sur la reconnaissance et la valorisation de mes compétences,
- sur la place des femmes, des travailleurs handicapés dans l'entreprise
- sur la place des syndicats dans l'entreprise(sniff CFDT...)
- sur l'annualisation du temps de travail...
Oui, la question se pose, pouvons nous nous soustraire et :
- faire comme si ces questions ne nous étaient pas posées
- faire comme si nous n'avions pas la possibilité, la capacité intellectuelle d'y répondre.
- faire comme si nous nous ne savions pas proposer des solutions crédibles à notre employeur pour faire évoluer notre statut professionnel ?
Alors, abordons le dialogue social sous un angle différent,
Nous sommes appelés
- à exprimer ce qui restreint notre capacité à agir,
- à proposer de nouvelles solutions pour améliorer nos conditions de travail
- à être reconnu comme de véritables professionnels du service client.
Saisissons-nous de cette opportunité
- pour faire reconnaître nos propositions
- pour en finir avec cette culture "du jusque là tout va bien"
La direction de transcom ww. doit se trouver en face de professionnels en capacité de faire ressortir les freins qui nuisent à la performance de l'entreprise et au bien être de chacun :
Les managers doivent inventorier ce qui les empêchent d'évoluer, d'apporter leur propre plus-value au travail quotidien de leurs équipes.
Les agents doivent être capables d'analyser leur fonction et de tracer les lignes d'actions qui permettraient de réduire leurs difficultés à gérer leurs missions, le stress lié à l'accomplissement de leurs tâches quotidiennes.
Les membres du training doivent être capable de mettre en en oeuvre de véritables outil d'évaluation, non pas seulement des salariés, mais aussi et surtout des moyens(outil informatiques et procédures mis à disposition du personnel) et de quelle façon effectuer des remontées pertinentes et percutantes à nos clients ,
Le service des ressources humaines doit...etc
Il est nécessaire que chacun apporte sa pierre à l'édifice, afin que nos emplois soient pérénnisés, reconnus, valorisés, pour que Transcom WW. se conforme davantage chaque jour à nos chères Transvalues,
Mais également pour qu'au moment des prochaines NAO, nous puissions établir le fait que sans la valeur ajoutée que chacun apporte à l'entreprise, au quotidien et au travers de ce type de démarche : Transcom n'est qu'un opérateur de plus dans la jungle des callcenter et que cette valeur ajoutée a à un prix.
PS : A quelqu'un qui se plaignait de travailler dans une mine de charbon, on répondit : tu pourrais travailler dans une mine de sel...l'autre se remit à pousser son chariot : eut-il tord?