La crise : Ras le bol
Ce soir, en vérité, je vous le dis, Ras le bol, la Crise, Ras le bol. Est-ce que l'on peut nier les fermetures d'entreprises, les pertes d'emplois, notre pouvoir d'achat en berne? Naturellement non. Ce que nous refusons, ce qu'à titre personnel, je refuse, c'est de participer à la sinistrose qui, de mon point de vue, ne contribue qu'à renforcer cette sensation de fuite en avant que nous pouvons tous ressentir à lire la presse, regarder la télévision. Je sais : le public a le droit d'être informé, il paie pour ça.
Mais ce soir, je refuse la fatalité qui fait vendre du papier, qui stimule les audimats, qui fait pleurer dans les chaumières. Il est grand temps de redresser la tête, de regarder devant soi et d'avancer. Ce que chaque salarié souhaite, c'est retrouver ou trouver des raisons objectives d'y croire, de penser que nous ne sommes pas nécessairement à la merci d'emploi, moins de revenus, moins de protection sociale, moins de solidarité.
Le cataclysme économique que nous traversons en ce moment résulte de causes clairement identifiées : on appelle cela les dérives du libéralisme. Tout le monde a envie d'y remédier, quel beau sentiment! Simplement, il me semble tout aussi important de souligner que les salariés n'ont pas à payer le prix d'une ordonnance trop sévère et qu'à ce titre, ils ont tout lieu de s'organiser, de prendre des cartes dans les syndicats représentatifs pour se protèger et contribuer fortement au dialogue social qui s'il n'existe pas, doit s'instaurer dans toute entreprise.
A ce titre, la vigoureuse reprise en main qui s'effectue à l'échelon France de Transcom nous semble porteuse d'espoir pour des jours meilleurs. Naïvement peut être, nous voulons croire que le changement de cap, que marque le départ de F. B. (à présent ex-responsable de l'europe du sud) va marquer un tournant décisif dans la stratégie de l'entreprise et que les discours conquérants de nos nouveaux dirigeants(volonté de maintenir l'ensemble des emplois, changement d'image et développement de nouveaux clients) seront suivi d'effets.Mais la naïveté n'exclut pas le contrôle et nous attendons des gestes significatifs, notamment en terme de Transparence de la part de la nouvelle direction France, tiens, une interrogation me vient :
"Madame la DRH, où en est la réponse à la lettre ouverte que vous adressé la CFDT par l'entremise de notre DSC?"
Conclusion qui n'en est pas une : les chantiers sont nombreux et il est primordial que chacun y trouve et y prenne toute sa place. L' Avenir est à nous, encore faut-il se l'approprier.
Mais ce soir, je refuse la fatalité qui fait vendre du papier, qui stimule les audimats, qui fait pleurer dans les chaumières. Il est grand temps de redresser la tête, de regarder devant soi et d'avancer. Ce que chaque salarié souhaite, c'est retrouver ou trouver des raisons objectives d'y croire, de penser que nous ne sommes pas nécessairement à la merci d'emploi, moins de revenus, moins de protection sociale, moins de solidarité.
Le cataclysme économique que nous traversons en ce moment résulte de causes clairement identifiées : on appelle cela les dérives du libéralisme. Tout le monde a envie d'y remédier, quel beau sentiment! Simplement, il me semble tout aussi important de souligner que les salariés n'ont pas à payer le prix d'une ordonnance trop sévère et qu'à ce titre, ils ont tout lieu de s'organiser, de prendre des cartes dans les syndicats représentatifs pour se protèger et contribuer fortement au dialogue social qui s'il n'existe pas, doit s'instaurer dans toute entreprise.
A ce titre, la vigoureuse reprise en main qui s'effectue à l'échelon France de Transcom nous semble porteuse d'espoir pour des jours meilleurs. Naïvement peut être, nous voulons croire que le changement de cap, que marque le départ de F. B. (à présent ex-responsable de l'europe du sud) va marquer un tournant décisif dans la stratégie de l'entreprise et que les discours conquérants de nos nouveaux dirigeants(volonté de maintenir l'ensemble des emplois, changement d'image et développement de nouveaux clients) seront suivi d'effets.Mais la naïveté n'exclut pas le contrôle et nous attendons des gestes significatifs, notamment en terme de Transparence de la part de la nouvelle direction France, tiens, une interrogation me vient :
"Madame la DRH, où en est la réponse à la lettre ouverte que vous adressé la CFDT par l'entremise de notre DSC?"
Conclusion qui n'en est pas une : les chantiers sont nombreux et il est primordial que chacun y trouve et y prenne toute sa place. L' Avenir est à nous, encore faut-il se l'approprier.