Syndicale Fiction
Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait fortuite et pourtant :
J'ai fait un rêve, c'était un rêve étrange et pénétrant... En voici le détail :
Once upon a time, ...il était une fois dans une petite multinationale suédoise implantée en France, une direction France ou plutôt ce qu'il en restait, qui cherchait à préserver ce qui lui restait de pouvoir et de privilège.
Ainsi, elle conçut le projet machiavélique de créer de la désespérance chez ses salariés et d'instaurer chez eux un état de révolte et d'abandon. Dans quel but? Générer des conflits, perturber ce qui restait d'équilibre au sein de l'entreprise, attiser les rancoeur, provoquer des grèves et bloquer la production des salariés. Pourquoi, me direz-vous? A quelle fin?
Devant un conflit qui risquerait de mettre à mal la survie de l'entreprise, la nouvelle direction à l'accent hispanique serait contrainte par sa méconnaissance(certes temporaire) du dossier France, de redonner les clés de la forteresse à ce qui reste de l'ancienne équipe, restaurant ainsi son pouvoir et son lustre d'antan.
Car l'urgence est semble-il pour certain ou certaine de gagner du temps et d'allumer quelques contre-feux face aux dangers que représentent les audits menés en interne par le corporate. Le prix à payer semble moindre : renforcer les organisations syndicales les plus radicales tant que le besoin s'en fait sentir. c'est dangereux? oui et non, car on peut se voir récompenser à ne rien céder face aux contestataires et puis de toute façon, il faut gagner du temps.
Et c'est ainsi que ...
Je vous laisse imaginer la fin de l'histoire ou bien la réaliser.
Mais ce n'était qu'un rêve et j'espère me tromper, je suis certain que les salariés bénéficieront bientôt de la communication sur l'entreprise à laquelle s'est engagée TWW lors du dernier CCE.
Je suis sûr que la CFDT bénéficiera bientôt la réponse promise à sa lettre ouverte.
Je me sens tout naïf ce soir.
Nicolas Zeimetz, délégué syndical CFDT
J'ai fait un rêve, c'était un rêve étrange et pénétrant... En voici le détail :Once upon a time, ...il était une fois dans une petite multinationale suédoise implantée en France, une direction France ou plutôt ce qu'il en restait, qui cherchait à préserver ce qui lui restait de pouvoir et de privilège.
Ainsi, elle conçut le projet machiavélique de créer de la désespérance chez ses salariés et d'instaurer chez eux un état de révolte et d'abandon. Dans quel but? Générer des conflits, perturber ce qui restait d'équilibre au sein de l'entreprise, attiser les rancoeur, provoquer des grèves et bloquer la production des salariés. Pourquoi, me direz-vous? A quelle fin?
Devant un conflit qui risquerait de mettre à mal la survie de l'entreprise, la nouvelle direction à l'accent hispanique serait contrainte par sa méconnaissance(certes temporaire) du dossier France, de redonner les clés de la forteresse à ce qui reste de l'ancienne équipe, restaurant ainsi son pouvoir et son lustre d'antan.
Car l'urgence est semble-il pour certain ou certaine de gagner du temps et d'allumer quelques contre-feux face aux dangers que représentent les audits menés en interne par le corporate. Le prix à payer semble moindre : renforcer les organisations syndicales les plus radicales tant que le besoin s'en fait sentir. c'est dangereux? oui et non, car on peut se voir récompenser à ne rien céder face aux contestataires et puis de toute façon, il faut gagner du temps.
Et c'est ainsi que ...
Je vous laisse imaginer la fin de l'histoire ou bien la réaliser.
Mais ce n'était qu'un rêve et j'espère me tromper, je suis certain que les salariés bénéficieront bientôt de la communication sur l'entreprise à laquelle s'est engagée TWW lors du dernier CCE.
Je suis sûr que la CFDT bénéficiera bientôt la réponse promise à sa lettre ouverte.
Je me sens tout naïf ce soir.
Nicolas Zeimetz, délégué syndical CFDT